Sept mook #39 - Spécial Afghanistan
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Sept mook #39 - Spécial Afghanistan

Mémoire(s) afghane(s) - Tome 1
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ISBN-13:
9782940625352
Veröffentl:
2022
Seiten:
164
Autor:
Reza Deghati
eBook Typ:
EPUB
eBook Format:
Fixed format
Kopierschutz:
Digital Watermark [Social-DRM]
Sprache:
Französisch
Beschreibung:

Au carrefour de l’Occident et de l’Orient, du bouddhisme et de la culture grecque, puis de l’islam sous l’influence de la Perse, l’Afghanistan possède un patrimoine culturel richissime. Il suffit de relire les écrivains-voyageurs Joseph Kessel et Ella Maillart – dont nous publions des extraits de leur oeuvre – pour s’en rendre compte. Une mémoire que les turbans noirs, ces révisionnistes du djihad, s’évertuent à détruire pour imposer leur lecture univoque de l’histoire et du Coran. Une «mémoire assassinée», pour reprendre le titre du livre de l’écrivain et grand reporter Olivier Weber sorti en 2001, année du dynamitage des bouddhas de Bamiyan. Pour ne rien oublier, pour graver les mémoires et continuer à tisser l’espoir, nous avons décidé de consacrer deux Sept mook à celles et ceux qui ont vécu et travaillé en Afghanistan. Ce premier numéro de Mémoire(s) afghane(s) – le second sera publié en 2023 – donne la parole à Reza, l’un des plus grands photographes contemporains. Attiré depuis son enfance par l’Afghanistan, il s’y est rendu à de multiples reprises depuis 1983, s’est lié d’amitié avec feu le commandant Massoud et a fondé en 2001 l’ONG Aïna. Sa mission: former des jeunes et des femmes aux métiers de l’information et de la communication, et développer l’expression culturelle, fondements de la démocratie. Car au-delà du témoignage, cet Iranien en exil se bat chaque jour pour la liberté d’écrire, de parler et de photographier. Un engagement pour la reconstruction culturelle que partageait la Délégation archéologique française en Afghanistan (DAFA). Créée en 1922 à la demande de l’émir Amanullah, la DAFA a en effet tenté de mettre en valeur et de protéger cet héritage unique pendant presque cent ans... jusqu’au retour des talibans en août 2021, comme nous le raconte son directeur actuel Philippe Marquis. «En Afghanistan, l’histoire et les mémoires se livrent une guerre millénaire dont chacun mesure le caractère destructeur», résume Régis Koetschet dans un récit où cet ancien ambassadeur de France à Kaboul égrène ses souvenirs, entre émerveillement et perplexité.

Au carrefour de l’Occident et de l’Orient, du bouddhisme et de la culture grecque, puis de l’islam sous l’influence de la Perse, l’Afghanistan possède un patrimoine culturel richissime. Il suffit de relire les écrivains-voyageurs Joseph Kessel et Ella Maillart – dont nous publions des extraits de leur oeuvre – pour s’en rendre compte. Une mémoire que les turbans noirs, ces révisionnistes du djihad, s’évertuent à détruire pour imposer leur lecture univoque de l’histoire et du Coran. Une «mémoire assassinée», pour reprendre le titre du livre de l’écrivain et grand reporter Olivier Weber sorti en 2001, année du dynamitage des bouddhas de Bamiyan. Pour ne rien oublier, pour graver les mémoires et continuer à tisser l’espoir, nous avons décidé de consacrer deux Sept mook à celles et ceux qui ont vécu et travaillé en Afghanistan. Ce premier numéro de Mémoire(s) afghane(s) – le second sera publié en 2023 – donne la parole à Reza, l’un des plus grands photographes contemporains. Attiré depuis son enfance par l’Afghanistan, il s’y est rendu à de multiples reprises depuis 1983, s’est lié d’amitié avec feu le commandant Massoud et a fondé en 2001 l’ONG Aïna. Sa mission: former des jeunes et des femmes aux métiers de l’information et de la communication, et développer l’expression culturelle, fondements de la démocratie. Car au-delà du témoignage, cet Iranien en exil se bat chaque jour pour la liberté d’écrire, de parler et de photographier. Un engagement pour la reconstruction culturelle que partageait la Délégation archéologique française en Afghanistan (DAFA). Créée en 1922 à la demande de l’émir Amanullah, la DAFA a en effet tenté de mettre en valeur et de protéger cet héritage unique pendant presque cent ans... jusqu’au retour des talibans en août 2021, comme nous le raconte son directeur actuel Philippe Marquis. «En Afghanistan, l’histoire et les mémoires se livrent une guerre millénaire dont chacun mesure le caractère destructeur», résume Régis Koetschet dans un récit où cet ancien ambassadeur de France à Kaboul égrène ses souvenirs, entre émerveillement et perplexité.

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